Soif de vengeance en tant qu'orpheline

Je vais vous résumer mon histoire, l'histoire de la petite orpheline qui a subit le pire pour satisfaire ce qu'ils appellent "la science".

Depuis que je suis un bébé, j'ai grandi dans un orphelina, les gens me racontaient que mes parents avaient été tués lors de la guerre. Un jour, un incendit se déclara : personne ne savait d'où ça provennait, les flammes dévoraient tout sur leur passage, les adultes entraient et sortaient pour nous arracher à elles. J'étais totalement ébêtée par toute cette agitation...des cris...des pleurs...un massacre. Des sorciers ! Je compris que c'était eux qui avaient mis le feu à ma seule famille.

Mes amis et moi avont été mis en ligne : ce qui osait encore pleurer étaient abatu par une torture mentale ! Nous étions 37...il n'en restait que 5. Nous avons été aveuglés, puis amenés dans l'entre du diable : l'héritable odeur, les sons de peur me restent encore en mémoire.

J'ai été enfermée dans une cage de 2m sur 2m...ce n'était que le début de mes souffrances.

Pendant ensuite plusieurs années, j'ai été le sujet de nombreuse expérience, chaque jour était plus douloureux que le précédent. Ils expéraient que l'un d'entre nous réagisse différemment au lieu de rendre l'âme.

Lors de mes cours instants de repos, je les entendais prononcer des mots étranges, mais il y en avait un qui me restait en tête : "démonitas" ; lorsque j'y pensais, j'avais des sensations de vertiges. Et une nuit, alors que je subissais encore une série d'électrochoc, je ne souhaitais que de briser mes chaines, alors j'ai crié : "démonitas !!", soudain mon corps se fortifia, des crocs et des griffes apparurent, et je me libérai. Mon âme avait basculé, je ne contrôlais plus rien. Emportée par cette enveloppe, je m'échappai de cette endroit sous les yeux surpris et terrifié de mes ravisseurs.

Le lendemain, j'avais repris ma forme humaine mais des milliers de question me busculaient l'esprit. Je n'étais plus qu'une âme érante, sans réponse, possédant un pouvoir des plus sombres, mais qui me facinait.

Plus tard, j'ai eu l'idée de tenir un journal pour me souvenir à jamais de mon périeux voyage...

En un mot : G-E-N-I-A-L

Merci Loup

J'éspère que tu fera une suite à ton histoire, parceque si la suite est aussi bien que ça...

Je vais essayer

" Aidez-moi !....à l'aide !... NAAAN ! "

Non !.. Encore ce cauchemar épouvantable...

Cela faisait 3 jours que je vagabondais au bord d'une rivière, que je dormais dans la précarité. Mon pouvoir m'avait été utile pour transporter certains matériaux, mais n'avait jamais refait surface avec une grande puissance. Il m'aurait bien servi pour la chasse de bufet sur pates, mais je devais me contenter de grignoter quelques bais qui trainaient dans la forêt.

Depuis toujours, j'ai peur du noir, ce qui a été angoissant pour moi lors de ma premère nuit dans mon petit cabanon; surtout que cette nuit là, j'ai entendu des bruits étranges : des bruits sourds, des claquements, des sifflements ect. Je me suis demandée si le sort s'acharnait sur moi. Le lendeman, l'air transportait une odeur de brûlé, j'ai aussi découvert des ossements, des flèches et de la chair en décomposition proche de mon campement. Après les longues années d'enfermement que je venais de vivre, ces objet m'étaient familiés : je me souvenais d'un de mes amis que l'on avait obligé à manger de cette immonde viande, son organisme étant affaibli par la faim, il n'y avait pas survécu...

Il fallait que je parte, que je trouve de l'aide ; alors pendant toute cette journée, j'ai incanté "démonitas.....démonitas" jusqu'à ce que je sente un semblant de force suplémentaire contrôlable me traverser le corps...j'y suis arrivée ! Ma nouvelle forme était incomplète, mais cette force était bien présente ; alors j'ai pris le minimum vital pour mon voyage, puis j'ai suivi le courant de la rivière.

C'est ainsi que pendant 2 jours et 2 nuits, je l'ai arpentée dans l'espoir de trouver des âmes généreuse qui pourront aider une orpheline, revenant de plusieurs années de torture...

Et? C'est tout pour l'instant ?
Vivement la suite, c'est génial, t'as vraiment un don pour écrire

ps : j'accepte les fautes d'orthographes mais ça : "engouaçant" x)
Essaie : angoissant

T'inquite y a une suite, je fais petit bout par petit bout pour éviter de faire un gros pavé
Merci encore ^^

XD merde attend je corrige !

Ok, alors j'attend le prochain chunk de RP alors (si ça se dit :p)

très bon RP, bien écrit et une imagination fort sympathique.

Merci As

De rien

"Je suis là....tu m'entends ?"

Oui...je t'entends...

Cela faisait 5 jours maintenant que je longeais cette rivière dont le courant était de plus en plus fort, que je transportais mon campement, mais que le pouvoir, à force d'utilisation, m'affaiblissais. L'espoir m'abandonnait, les ténèbres m'entouraient...j'étais toujours cette ombre qui fuyait un point pour en rejoindre un autre complètement indéterminé, et sans doute inexistant.

Je regardais le sol, ne voulant même plus scruter l'horizon...quand soudain, il y eu un cours tremblement...puis un second...puis un autre. Des pas lourds frappaient la terre dans un raisonnement sourd. Ça se rapprochait ! Un arbre se déracina et tomba, puis celui d'en face ; ils s'écartaient de force sur le chemin d'une créature énorme. Un golem surgit de la forêt dans un cris roqueux et mécanique. Surprise, je fis un bon en arrière, et laissai tomber mes provisions. Il me faisait reculer de par ses hurlements menaçants mais aussi de par sa carrure imposante. J'étais au bord de la rive ; je ne pouvais traverser avec un tel courant, je ne voulais qu'une seule chose...m'échapper ! "Démonitas !" Mon cœur s'accéléra, je fus de nouveau emporté par ce pouvoir ; je franchissai de force le barrage qu'était le golem, et m'enfonçai dans le bois, me frayant un chemin entre les arbres. Je l'entendais, mais ne pouvais tourner la tête : la nature souffrait sur son passage, en plus des cris qu'il poussait.

J'atteignais les limites de mes forces : une telle dépense d'énergie noire pendant 5 jours m'avait trop sensibilisée, le pouvoir portait mon corps à l'épuisement total, quand un mur de terre se dressa devant moi ; j'étais prise au piège. Il était tout proche, je perdais l'avance que j'avais sur lui. Je redevenais humaine ; tout mon corps était mou et fatigué. Adossée au mur, le soleil en plein sur mon visage, j'attendais la venue du dévoreur d'enfant, que ma vie s'achève... Le golem était devant moi, il avançait son énorme main, je fermai les yeux... « Stop ! » Il s'arrêta, et se redressa tel un soldat ; je rouvris les yeux. La voix provenait de derrière lui. Une silhouette fit quelques pas, et demanda :
- Qui es-tu ?
Éblouie, je répondis avec peine :
- Je suis Jess, Jess Outlaw...

Je suis sûr que c'est Nefa ! :p

En bref le M-E-I-L-L-E-U-R RP que j'ai jamais lu!

JesseeOutlaw a écrit:

"Je suis là....tu m'entends ?"

Oui...je t'entends...

Découverte Jessee est atteinte d'une grosse schizophrénie. En mode Oui je t'entend mais ne parle pas trop fort s'il y a du monde autour de toi.

Merci beaucoup ^^

XD As !

Nan mais à mon avis, alle avait lu un texte disant :"Je suis là....tu m'entends ?" en boucle, donc à un moment elle a craquée et elle a répondue (au passage, ça fait franchement génial en début de chapitre )
Un peu comme la musique de Dragon Ball Z...

Résumé des messages précédents : Slurp Slurp Slurp, je lèche le cul de Jessee.


En tête du concours de lèche : LOUP08 avec 5 messages,
En seconde position : As avec 3 messages
Et en dernières position : Ray, Phiiling et maintenant moi, avec 1 messages

Qui léchera le plus le cul de Jessee ? Qui a le meilleur coup de langue ? Qui lave le mieux les poils ? *dit celui qui passe le plus clair de son temps avec elle :')*

Suite, au prochain rapports.

It's a joke, guys. Don't take it serious :p

« C'est marrant ici...on s'amuse ! »

Mais tais-toi...

Ensuite, j'ai eu l'impression de revivre mes années de torture et d'emprisonnement : tout les jours, le sorcier me lançait des sorts, posait des runes...et toutes les nuits, je me retrouvais à l'étroit entre 4 murs, seule dans le noir avec des milliers de questions qui restaient sans réponse. Tout ce qu'il me laissait, ce sont mes pensées et mes rêves : j'imaginais ce qu'aurait été ma vie si mes parents étaient encore de ce monde...serais-je dans les bras de ma mère en ce moment ? Ou même à l'école ? Est-ce que mon père viendrait regarder mes spectacles ou mes pièces de théâtre ? De toute manière, chacune de ces situations sont plus agréable que cet endroit.

Je n'arrivais plus à me repérer dans le temps, je n'avais pas revu le soleil depuis que j'étais ici. Une fois, le sorcier m'avait dévoilé son nom, c'était Nefarian. Sa magie me semblait puissante, mais il me répétait sans cesse cette phrase : « Je sais que tu possèdes un plus grand potentiel magique ! » ; ce qui me laissait à penser que je pourrais, peut-être un jour, égaler le sien. Mais, jusqu'ici, j'avais eu beaucoup d'espoir pour pas grand chose...

Après plusieurs dizaines de sorts et de potions, il m'enferma pour me laisser dans le noir complet, mais les symboles ne brillaient sur le sol, cette fois-là. Je me suis donc rapproché des barreaux, et je ne vis effectivement aucune écriture. C'était le moment idéal, c'était maintenant ou jamais « Démonitaaas ! »...« Enfin ! » Je réussis à me transformer, à la seule différence que j'avais la sensation d'être plus forte, plus puissante que jamais ! Mais je perdis vite le contrôle, une fois de plus, et je fus téléporté dans un autre monde, un monde où la magie se faisait sentir considérablement. Puis, je vis l'orra flambante de Nefarian dévaler les escaliers, et, à ma grande surprise, il me traversa ! Il s'agitait de tout côté, puis il repartit.

Étant, apparemment ''invisible'', je l'ai suivi, puis je suis sortie à grande enjambé. Quand je me suis retrouvée dehors, mon cœur sauta un battement : j'étais en pleine forêt, mais des spectres aux yeux luisant déambulaient entre les arbres, des créature, faite de griffes et de dents acérées, planaient pendant que d'autres rampaient. Mon calvaire n'était rien comparé à ça ! Mon corps s'affola de nouveau, il m'emmena loin à travers les feuillages pour ensuite gravir une montagne à la seule force de ces bras et de ces jambes.

Une fois de l'autre côté, j'entendis une voix me murmurer : « Va droit devant toi, et ne t'arrêtes pas tant que tu n'auras pas trouvé ce que tu cherches... ». Sans comprendre, je me suis mise à marcher d'un pas tranquille, peu à peu, je repris ma forme d'origine en quittant ce monde effroyable. Je foulais maintenant la terre d'une plaine paisible où l'horizon n'avait pas limite, le soleil se levait derrière lui, et une douce brise me caressait le visage ; la liberté était enfin à mes côtés.