Pseudo : Tindranel
Age : 18
Expérience de jeu : Depuis la 1.5
Pseudo skype : nicolas.leray (original, hein ?)
Petite présentation :
Donc, je m'appelle Nicolas. J'aime les rpg, et le jeu de rôle, les jeux de plateaux comme warhammer et bien sur les jeux PC. Sinon, mis à part des jeux, je fais de l'escalade, et à mes heures perdu, je dessine, je lis et j'écris des histoires. Sur minecraft, j'aime les serveur un peu rp (mais pas trop) c'est d'ailleurs pour ça que je suis sur VaeVictis depuis 1 an. Mes heures de disponibilité et mon temps de jeu par semaine est très aléatoire, je joue quand j'ai le temps (et ça va être encore pire cette année vu que j'entre en école d'archi). Je participe également au développement d'un autre serveur en tant que rôliste, et j'ai déjà expérimenté a peu près tout les types de serveur qui existe (anarchi, hardcore, full rp, semi-rp et creative)
Petit RP :
Des flammes, du sang, la mort. Tindranel observait la citée en feu, avec un sentiment de tristesse mellé de dégout. Les hommes ne savent-ils faire que détruire ? Il éperona son cheval, qui partit au galop sur le sentier de terre. Plusieurs jours durant, ils traversa villages, villes, citées. Jusqu'a le mener jusqu'a la mer. Dans une grande citée portuaire, Tindranel entendit pour la première fois parler d'un autre monde, d'un autre terrtoire, par delà l'océan, au terres vastes et fertiles. Un nouveau foyer ? L'espoir de démarrer une nouvelle vie ? Il tenta pendant plusieurs jours de trouver un navire à destination de ces terres. Hélas, les capitaines ont pour principe de n'embarquer que de riche marchands à la bourse rebondit. Pas de place pour les petits chasseurs de primes sans le sou. Quand un jour un vieux pécheur, rondouillard lui indiqua, qu'un navire partait pour le royaume d'Embrosia sous peu, et que le capitaine cherchait une équipe de gardes bon marché. Tindranel, plein d'espoir, lança une pièce d'argent au pécheur parcouru le port au trot. "Quai n°43", avait dit le bonhomme. Il filait sur la route pavé du port, regardant à peine les impressionnants vaisseaux marchands qui défilait devant ses yeux. Quai n°42. Le chasseur de prime était arrivé au bout de la jetée. Pas de quai n°43. Il questionna les passants, les marins, les marchands sur le quai n°43. Il eu le droit en guise de réponses à des regards incrédules, moqueurs. Le bonhomme c'était fichu de lui. Et lui, naif, lui avait fait confiance. Il commençait à perdre espoir quand un marchand qu'il avait inrerrogé lui répondit : " Le quai n°43. Mais vous n'êtes pas au bon endroit mon ami. C'est à l'ouest de la ville, derrière le quartier des menuisiers." Tindranel lui lanca un bref "merci" et partit en trombe vers l'ouest. Il traversait les rues et ruelles pratiquement au galop, ignorant les commentaire et insultes des passants, obligés de s'écarter sur son passage. La route montait maintenant. Il arrivait au quartier des orfèvres. Tindranel commençait a se demander comment un quai pouvait se trouver dans un tel lieu. Peu être la ville avait-elle deux ports ? Enfin, au sommet de la crête, il arriva au quartier des menuisier. Apparement, on s'était encore moqué de lui. On ne trouve pas de quai au sommet d'une colline. Il continua néanmoins sont chemin, passa la crète et le vit. Sur l'autre flanc de la collines, de nombreux pontons, soutenus par de longs poteaux, avancaient dans le vide. Arrimées à ces derniers, des dirigeables collossaux, tel que Tindranel n'en avait jamais vu auparavant.
Quai n°43. Le premier quai. Un dirigeable d'une taille respectable, mais qui paraissait fin et maigre comparé aux autres, y était attaché. En fines lettre d'or, son nom, l'Exodius, était inscrit d'un coté de la proue. Tindranel confia son cheval nerveux à un garçon d'écurie, à l'entrée du port, puis partit à la recherche du capitaine de l'Exodius. Il le localisa rapidement à la taverne. C'était un homme d'une carrure impressionante, des bras comme des poutres et une têtes couturées de petites cicatrices. Aussi fut-il un peu septique en voyant la frèle constitution de Tindranel. Il changea immédiatement d'avis quand celui-ci planta une dague dans la chope d'un quidam, à l'autre bout de la taverne.
A la proue du dirigeable, Tindranel admirait le paysage. La mer, d'un bleu envoutant, parcemé de petites îles, qui vue d'en haut, ressemblaient à de petit confettis. Au moment de partir, quelques jours auparavant, il avait dù vendre son cheval ("Je prend pas cette bestiole à bort, lui avait répété le capitaine"), et il partait maintenant, loin de tout ce qu'il connaisait, dans un nouveau monde, pour démarrer une nouvelle vie. La cloche d'alarme le tira de ses reveries. "Tout les hommes sur le pont", braillait le capitaine. Tout les hommes sur le pont hurlait le second en retour. Tindranel, alerte,regarda de tout les cotées. Mais il ne voyait que le ciel et la mer. Pas le moindre danger en vue. Fausse alerte ? Exercice ? Le claquement sec des balistes, suivit d'un sinistre craquement, celui de la coque du batiment, lui apporta sa réponse. On criait derrière lui. Il se précipita à la proue, arc à la main. Il grimpa en hâte sur le pont supérieur. Des pirates. Les gardes mercenaires, en infériorité évidente, luttaient déserpérément. Plusieurs avaient été fauché par des trais de balistes. Un des bandits se rua vers Tindranel, sabre au poing, de la bave dégoulinant sur sa barbe crasseuse. Le chasseur de primes décocha une flèche, il s'éroula. Voyant qu'il ne lui servirait pas à grand chose dans la mellée, Tindranel jeta son arc au niveau de la barre, que le timonier avait abandonné et dégaina sa rapière. Et se jeta dans la mellée. Les coups fusaient de partout. On hurlait. Du sang maculait le plancher du pont supérieur. Le chasseur de prime ne réflichissait plus, son instinc de survie avait pris les commandes. Un espèce de mastodonte abatit sa hache sur lui. La où il était. Tindranel se faufilait, coupant, éraflant, tranchant au passage tout ce qui passait à portée de sa lame.
Il ne s'en tirait pas mal. Une estafilade sur la jambe, plusieurs coupures sur le bras droit. Mais rien de grave. Les pirates du ciel n'étaient que de piètres combattants finalement. Après avoir pensé ses blessures, il s'accorda quelques heures de sommeil. La cloche d'alarme le tira de ses rêves. Elle sonnait, mais plus lentement que la première fois. Alerte ? Danger ? Sur le qui vive, il attrapa son arme et se précipita sur le pont. Il faisait nuit, et de nombreuses lanternes illuminait le pont du dirigeable, donnant à la scène un aspect irréel. La cloche sonnait toujours, quand le capitaine annonça "Nous pénértons dans le royaume d'Embrosia." Tindranel strotina vers la proue du vaissau, et observa le paysage en plissant les yeux. A la lueur de la lune, on pouvait distinguer la côte
Ce que j'aimerais apporter à Embrosia, c'est des RP. Ecrire l'histoire de la faction au fur et à mesure que les évènements se déroulent sur le serveur.
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