Salut salut ! Me re-voilà sur Vae Victis à ma plus grande joie (après je sais pas pour les autres...)
Pseudo Minecraft : Alexguile
Pseudo Skype : spokny
Je n'ai pas mumble (désolé >.<")
Alors pour commencer je me nomme Alexandre, j'ai 17 ans, je vis à Nantes, mon groupe sanguin est AB... Heu pas nécessaire ça...
Bref, mes principales occupations sont, être un Otaku, je lis pas mal de manga, je regarde pas mal d'anim', j'adore la J-musique et la culture japonaise en générale.
Je reste pas moins gamer, avec les RPG, J-RPG, STR, un peu de FPS, survival-horror, et le JdR.
J'écoute pas mal de musique, de la J-musique (Hatsune Miku par exemple ^.^), Rock, Métal, Punk, un peu de Techno' et je crache sur le Rape !
Je dessine vite fais pour le plaisir, et j'écris de pavé vite fais, ba pour le plaisir aussi !
Pour ce qui de ma personnalité, je rigole facilement, je suis asser enjoué mais je reste tranquille et sérieux quand il le faut, sinon c'est très vite le dawa. Niveau défauts, je peux m'emporté facilement si c'est un peu trop n’importe quoi, et je tourne très vite en rond, donc si je dois faire un truc et que je lambine, rappelais le moi !
Je peux jouer pratiquement tout le temps, après je signal si ce n'est pas possible. Quand je serais a nouveau au lycée, je ne pourrais jouer que le mercredi aprèm' et le week-end, environ 2~3 heures. Après si en semaine c'est possible je le signalerais.
Mon expérience minecraft est longue, je joue depuis la beta, j'ai du faire une dixaine de serveurs plus ou moins sérieux, avec des potes on a eu un projet de serveur, on a reproduit la ville de Midgard de FF7. Après j'ai participé a une saison d'HunterZ mais bon...
Maintenant place au RP. Pour info', j'ai déjà un RP quand j'étais chez Embrose, donc il est toujours valable, et ce RP est sa continuité. Et voici le lien de mon ancienne vie :
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]Des gouttes venaient de s’écraser au sol, le ciel devenait menaçant. Des gouttes, ou des larmes ? Je me noyais dans une profonde nostalgie. Une année c’est écoulé depuis que j’ai quitté le royaume d’Embrose, j’ai eu mais 23 ans il y a quelques semaines. Il ne me reste plus rien de cette vie que mes souvenirs qui viennent me hanter. Pourquoi ? Qu’est-ce qui m’a amené à quitter mon foyer ? La réponse je l’ais mais je n’ose pas l’avouer. J’étais lace de ce pays et de son roi, lace de ces guerres incessantes. Je voulais trouver la paix, cette sérénité que je n’avais jamais éprouvé au par avant. Depuis mon « départ » je vagabonde. J’ai troqué mon armure et mes armes contre une cape et un sac. Me voilà de nouveau sur la route, je vis simplement, le seul objet de valeur que je n’ai pas vendu est un petit pendentif d’argent, il appartenait à Léanore, mon défunt amour.
C’est un matin, au début du printemps, la route devint un chemin et le chemin disparut pour laisser place à des collines verdoyantes. Une épaisse brume ne me laissait qu’une once de lisibilité. Je marchais à travers ces collines ne voyant que mes pieds, mais le brouillard commença à se levait et j’aperçus à une centaine de mètres le seul arbre qui surplombait le haut d’une colline. Quand j’y fus arrivé, le sol laissait paraitre quelques roches claires. Je vis un homme d’une trentaine d’années adossé à l’arbre, il semblait dormir, mais me tenant à côté de lui il m’interpella :
- Hé ! L’ami !
- M’oui ?
- Tu sais qu’elle arbre c’est ?
- Non… Je ne distingue à peine ces feuillages.
- Regarde bien autours de toi ! Il se mit à rigoler.
- Et je suis censé voir… Des pétales ?
Des milliers de pétales voltigèrent autours de moi, portées par une légère brise.
- Oui, des pétales, c’est ça !
- Un cerisier en fleur…
- C’est beau n’est-ce pas ? Surtout en cette période, les pétales sont gorgés de couleurs. Bon je te l’accorde le rose reste très féminin. Il sourit. Mais ça reste splendide…
Le trentenaire se releva, se frotta et remit en place son kimono couleur olive. Je fis surprit par l’étrangeté de ces habits, il m’empressa de demander à l’homme :
- Où sommes-nous ? Quel royaume ?
- Nan l’ami, c’est un Empire, Koshaïmas, si tu veux tous savoir.
La brume se leva entièrement pour l’laisser paraitre une magnifique vallée parcourut d’un petit ruisseau, un village si trouvait. Les bâtiments n’avais ni pierres, ni brique. Tout était de bois, de papier et de bambous, dans un style qui m’était encore inconnu. Tous ces habitant portait cette sorte de robe, un kimono comme ils le disent. Les hommes ont de longs cheveux en chignon, leurs femmes ont le teint pâle et une de sublimes chevelures noires et soyeux. Tout baignait dans une harmonie parfaite, chaque geste était réalisé à la perfection, comme pour profiter pleinement du moment présent. J’avais trouvé mon havre de paix. Mais plus je voyais leur visage plus celui de Léanore me venait à l’esprit. Elle avait cette même chevelure et ce même regard. Elle m’avait dit qu’elle avait beaucoup voyagé durant sa jeunesse, mais son prénom de ressemblait en rien à ceux de ces contrées. Le trentenaire me fit visiter le village, ces habitants semblaient parler une autre langue que la mienne. Puis arrivé devant le forgeron je lui demandai :
- Mais quelle langue parlent-ils ?
- Et bien l’Orientale… Je présume…
- Mais toi, tu connais ma langue.
- Oui je suis marchand, donc c’est une nécessité pour moi.
Tous les habitants me dévisageaient, j’étais en effet un inconnu, un étranger. L’homme me tapota l’épaule :
- Ne t’inquiète pas. Ils sont méfiants.
- Je vois…
- Mais comment te nommes-tu ?
- Ah oui, je e me suis pas présenté, Alex, mon nom ne mérite pas d’être retenu…
- Bien je suis Kira, Kira Yamato. Il s’inclina légèrement vers moi, à ma grande surprise.
- Enchanté.
- Viens, je t’invite ! Ils bientôt l’heure de manger !
- Oh… Merci…
Me voilà dans l’une des demeures du village. L’intérieure était sobre, les murs sont d’habile mélange de bois et de papier, tandis que le sol est un ensemble de tatamis de bambou tressé. Je fis la connaissance de sa famille autour d’une table basse en plein centre de la pièce centrale. Nous étions installés sur de simple coussin à même le sol.
- Alex, je te présente mon épouse, Lacus. Elle est occidentale.
La femme sourit et fit un petit hochement de tête.
- Et oui, Kira a réussi à me faire quitter mes terres natales.
- Non sans mal. Ils se mirent à rigoler.
- Et voici mon fils, Testuo, âgé de 12 ans. Et ma fille, Fukumi, elle a 20 ans.
- Enchanté.
Le petit me sourit, tandis que sa sœur inclina sa tête humblement. 3 ans, je n’avais que 3 ans de différence avec cette fille, qui, je ne vais pas le nier, était resplendissante. Mais l’âge de Kira me posé problème :
- Mais toi Kira, tu as quel âge, exactement ?
- Moi ? 39 ans.
- On t’en donnait 30…
- Merci !
- Tu as eu ta fille très jeune.
- Oh tu sais… Ce n’est pas vraiment un problème, non ?
- Oui…
- Et toi ? Alex ?
- Moi je… Euh… 23 ans…
- QUOI ? Aussi jeune ?
- Je… En effet…
Lacus revint avec un plat de riz et de poissons fris. Et me regarda :
- Tu n’as que 3 ans de plus avec notre fille. C’est amusant.
- Moi, je t’aurais donné bien 5 ans de plus !
- Hahaha… Je fais si vieux que ça ? Et bien… C’est vrai que mon… « parcours » m’ai pas mal marqué. Je ne pensais pas à ce point.
Tout le monde fit servi, mais on me proposa d’étrange couver, de baquette de bois. Tetsuo m’aida, au plus grand plaisir du reste de la famille qui se moquèrent bien de moi. Mais au milieu du repas une question que j’aurais voulu évité tomba de la bouge du gamin :
- Mais avant tu faisais quoi ?
- Je… Un gène s’installa en moi, je savais quoi répondre. Et bien, je pense qu’il est préférable de rien dire. Je fis un sourire pour mettre fin à la discussion.
- Tu as tué quelqu’un ?
La mère haussa la voix.
- Tetsuo !
- Je crois que… Oui…
Un silence pesant s’installa, la mère coucha le jeune homme dans sa chambre et le reste de la famille prit un ton sérieux. Kira me fixa et fit :
- Tu es un meurtrier ?
- Non, plus un ancien soldat.
- De quelle nation ?
- Embrose.
- Tu es donc un déserteur.
- Non ! Je me qualifierais plus d’exilé…
- Je vois… Pourquoi ?
- Je voulais quitter tout ça. Partir loin des guerres, loin des conflits…
- Mais, ici aussi il y en a, tu sais…
- Oui, mais… C’est si différent…
- Excuses moi, si j’ai refoulé des anciennes blessures.
- Nan… Ce n’est pas grave…
- Mais tu es si jeune pour être un ancien soldat.
Je relevai la tête en direction de Fukumi, elle avait sur son visage un sentiment d’effroi. Elle se leva et partit dans sa chambre.
- Excuses la, une guerre à emporter ces amis. Elle a une peur extrême de tous ce qui militaire, cela lui rappelle trop de mauvais moment.
- Je crois que je vais devoir vous quitter. Merci pour le repas.
- Et tu vas aller où ?
- Le plus loin possible, si même ici je continus de faire souffrir des gens innocent , alors autant partir.
- Donc tu veux fuir, à nouveau ?
- Non ! Je ne fui pas !
- Alors acceptes ce que tu es ! Tu es un ancien soldat ! Et tu le resteras !
- Non ! C’est faux !
- Regarde-toi ! Tu as tué, tu sais te battre, malgré tout !
Je m’écroulai au sol. Il avait raison, je suis un soldat, un guerrier, ma vie n’est faite que de mort et de sang. Les larmes montèrent.
- Que faire ? Que dois-je faire ?
- Que veux-tu ?
- La paix, la sérénité !
- Alors sèche tes larmes. Tu connais la seul solution pour atteindre ceci.
- Oui, me battre. Je serai mes poings contre le tatami. Il faut se battre pour un jour amener la paix.
- Oui… Malheureusement.
- Mais… Je l’accepte… Je n’ai pas le choix ?
- Nan, en effet. Tu peux rester ici autant que tu le voudras, d’accord ?
- Oui, merci, merci pour tout !
- Ce n’ai rien… Mais si tu veux une raison pour faire cela, fais le pour les gens qui vivent ici, fais le pour que ma fille retrouve le sourire. Je t’en prie !
On se releva, pour nous serrer la main. Et je lui promis. Je resta quelques semaines en leur compagnie, ils m’apprirent le rudiment de leur langue et de leur culture. Maintenant je fais route vers la capital, Yokono, pour pouvoir m’engager dans l’armée impérial afin d’amener un monde paix.
Voilà voilà ! J’espère que cela vous a plu !
J'ai lu le règlement et je l'approuve.